Ma préférée parmi les « mauvaises herbes ».
À la voir envahir les terrains vagues, on pourrait se croire en présence d'une plante introduite, pourtant l'Asclépiade commune est indigène. C'est plutôt l'oeuvre de l'homme qui favorise son développement dans ces endroits, bien qu'elle est présente aussi en forêt.
C'est une plante peu exigeante, qui croit très bien dans un sol pauvre, où elle a peu de compétition.
En plus de la beauté de ses fleurs et la singularité de ses fruits, la plante est comestible, une fois cuite.
L'Asclépiade commune a de nombreuses qualités et usage pour l'homme.
L'interaction entre le papillon monarque et cette plante est fascinante.